Said Bouhadja, président de l’APN,déjà contesté par sa propre famille politique pour son manque de « fermeté » et sa tendance pathologique au pouvoir personnel, se trouve actuellement engagé dans un bras de fer avec les partis d’opposition.
Pomme de discorde : lerenouvellement des instances permanentes dont le mandat est déjà arrivé àéchéance. Les partis d’opposition sont vent debout contre cerenouvellement et réclament en priorité l’adoption du nouveau règlement intérieurpour le mettre en conformité avec les dispositions de la constitution amendéeen 2016.
Pour éviter le blocage de l’APN,Said Bouhadja entend, pour sa part, procéder au renouvellement des instancesdans le cadre de l’ancien règlement interne datant de 1997, en attendant de trancherle problème du règlement intérieur, dont le projet est retiré, suite à lapression des députés de la majorité.
Cest dire qu’encore une fois, la propulsion de Bouhadja au perchoir, est une énième erreur de casting !