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Ancien chargé de mission à la présidence, Mohamed Laagab répond à ses détracteurs

28-01-2021 13:22  Rédaction

 Dans une mise point publiée mardi dans Le Quotidien d'Oran', l'ancien chargé de mission auprès du président de la République, Mohamed Laagab, a répondu à la «campagne de dénigrement» dont il fait l'objet depuis son départ d'El Mouradia.

Mohamed Laagab explique que «par fidélité et engagement en faveur du programme de réformes multidimensionnelles du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, que je soutiens et continue à soutenir par loyauté, quel que soit mon poste ou ma position, je suis dans mon droit légitime de défendre mon honneur et mon nationalisme, et je le ferai jusqu'au bout».

Et de préciser que "Certains sites et pages sur les réseaux sociaux ont mené une campagne enragée contre ma personne dans le «but évident de nuire à ma personne et à ma réputation, en distillant de fausses et trompeuses informations. Une association inconnue et sans accréditation m'a accusé d'avoir dévié de la ligne nationale et appelé à la liquidation physique, et pis encore, le communiqué de cette association illégale a été repris par certains sites de la presse électronique, au mépris total des règles élémentaires du journalisme et du professionnalisme», dénonce l'ancien chargé de mission à la présidence. 

«J'ai d'abord voulu m'élever au-dessus de cette basse manœuvre en ne répondant pas aux allégations de cette association, mais atteint dans mon honneur et mon nationalisme, je me suis vu contraint de me défendre, et je me battrai jusqu'au bout » souligne t-il.

continuant de répondre à ses détracteurs, Mohamed Laagab indique que «le but de cette campagne sordide contre ma personne est de me pousser à dire du mal de l'Etat algérien, ses institutions et ses symboles, avec à leur tête le président de la République, ils se trompent lourdement et ils peuvent attendre longtemps».

Et de conclure sa missive, en affirmant «je dénoncerai tous ceux qui ont mené cette campagne sordide contre ma personne après le retour au pays du président de la République, guéri et en bonne santé, pour parachever son projet national et je fais porter l'entière responsabilité aux auteurs de cette campagne de dénigrement contre ma personne, s'il m'arrivait un malheur à moi ou à ma famille». 



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