L’entêtement de l’ex ministre de la santé Abdelmalek Boudiaf à aspirer à revenir à la tête du ministère de la santé qu' il considère être sa chasse gardée (ou sa poule aux œufs d'or) n'a d’égal que son obstination, à l’approche d’un probable remaniement ministériel, à se voir rappelé pour passer les années restantes des dix qu’il avait annoncé, haut et fort, être venu y accomplir …
Notre Rahmate Rabi national est soupçonné par l’actuel Ministre de la santé Mokhtar Hasbellaoui d’être derrière les fuites organisées sur l’accouchement, en octobre 2016 à Paris, de l’épouse de ce dernier (elle même professeur de médecine interne au CHU de Beni Messous) alors qu’il occupait les postes de DG de l’Institut National de Santé Publique et de Professeur chef de service au CHU de Bab El Oued…
En complotant par tous les moyens à sa portée, ses amis finançant tout ce qui est publié contre Hasbellaoui, l’objectif de Abdelmalek Boudiaf est de faire payer son successeur, qui a limogé ses yeux et oreilles au ministère de la santé, à savoir le chef de cabinet et le chargé de la communication, de se donner la chance de revenir bientôt au juteux ministère de la santé et de tirer profit, dans son simplet calcul, de ce qu'il pense être une période politique délicate et jouer de ses relais aux fins d’influencer la Présidence de la République..
Selon des sources concordantes, ce sont l’ex chef de cabinet et l’ex chargé de la communication, limogés par Hasbellaoui, qui orchestrent le lynchage en cours de ce dernier, dans l’espoir de voir Abdelmalek Boudiaf reconquérir son fief lamentablement perdu.