Ce vendrediétait le 1er Mouharram, le nouvel an de l’Hégire. Le calendriermusulman.
Comme tel etcomme pour tout ce qui se fait ailleurs dans de pareilles occasions, au moinsnos mioches devaient-ils profiter des apparats festifs, pour s’imprégner de la religion deleurs parents, aïeux et ancêtres.
Mais cetévénement, comme tous ses devanciers, passa dans un air tristounet à ne pasfaire jubiler un gosse.
Ni battagemédiatique, ni spectacle, ni feux d’artifices qui eurent pu titiller quelquesfibres pieuses endormies au fin fond de l’esprit du chérubin.
Un peu commepour les anniversaires qu’on sacrifie également-peu à peu- sur l’autel de‘’layadjouz’’ d’alliens.
Forçant lasociété à rompre avec ses traditions conviviales pour embarquer vers la planète‘’Tristus’’ !