Le mondefête- en ce dimanche de grâce- la journée internationale de la Femme.
Supposée-partout- affranchie, émancipée et regorgeant de- tous ses droits-
Pour traduirel’acquis universel, un entendement têtu. Un aprèm ‘’chômé- payé’’, assorti d’unerose -plus factice que parfumée- Pour faire ce qu’on peut d’une halte bienvautrée dans l’hypocrisie humaine.
Partout ? C’est trop dire.
La femmepalestinienne, sa consœur rohingya et toutes ses consœurs- là où pointentencore toutes les formes du génocide- en sont encore à boire l’absinthe, après enavoir mâchouillé les fleurs que le Monde libre leur offre au quotidien.