Nouredine Boukrouh, qui multiplie les leçons de morale au bon « Ghachi »n’est pas si nickel que ça. En effet, à en croire des sources, il lui serait demandépar la Direction nationale des impôts de payer des arriérés qui se chiffreraient en milliards de centimes.
L’ex chef du PRA est patron d’une société d’importation de médicamentsvétérinaires depuis 1995, sans s’acquitter de ses obligations vis-à-vis dufisc ajoutent les mêmes sources.