Chelsea, sous la férule de l’allemandThomas Tuchel a joué une partition de ‘’blues’’, samedi à Porto en finale de laChampions’ League (0-1).
Pour l’occasion, l’inénarrable PepGuardiola a sorti une énième lubie, d’une, en vidant son milieu d’unrécupérateur- relayeur de la trempe de Fernadinho ou Rodry et de deux, latitularisation d’un Raheem Sterling, hors coup depuis des lustres.
En transgressant la règle qui veut qu’onne change pas une équipe qui gagne, le Catalan a perdu gros, très gros.
Le comble est que l’équipe aumeilleur rapport offensif de Premier League n’a pas pu répondre au but quasianecdotique, s’agissant du haut niveau, de Harvetz à la 42’.
Bridés par le schéma tactique mis enplace, qui a coincé Foden pour donner la vedette à Sterling, ni De Bruyne, sorti sur blessure, niMahrez confiné à droite sur la ligne, n’ont réussi à renverser la vapeur.
Jamais deux sans trois ? Tuchelqui restait sur 02 victoires en a rajouté une louche, ce soir. Une louche en or,faudrait-il dire pour cet homme qui avait mené l’an passé le PSG en finale deC1, avant d’en être éconduit, au même titre d’ailleurs que l’axial brésilien,Tiago Silva. Les deux hommes savourent, plus que lesautres, un succès bien mérité.