Le président Tebboune a indiqué lundi que son programme plaçait au cœur de sa démarche « « l'excellence et l'efficacité du système national de l'éducation et de la formation", ajoutant que "l'économie de la connaissance est une dimension stratégique dans notre démarche politique ».
Dans un discours lu en son nom par le Premier ministre, en ouverture des travaux des Assises nationales de l'Economie de la Connaissance, le chef de l'Etat a expliqué encore que "notre pays fait face à des défis qui nous imposent un passage obligatoire de l'économie de rente à une économie productrice de richesses, ce qui exige une rupture radicale ».
En présence de plus de 1.300 participants, le président de la République a souligné en outre que l'Algérie possède des potentialités en matière d'économie de la connaissance, révélant à ce propos le nombre de 600 laboratoires, 109 instituts universitaires, 44 incubateurs et des centaines de start up".