Qu'a fait ou dit Ahmed Ouyahia pour mériter le traitement de faveur particulièrement élogieux que le terroriste repenti Mezrag Madani lui a jusque là réservé depuis qu'il jacte sur tous les plateaux de TV où ses commanditaires ou managers parviennent à l'introduire?

Faut-il penser que son inclusion dans la dernière consultation lui a été présentée comme étant une faveur à lui faite par l'ex-responsable du DRS par Ouyahia interposé ?

A présent que l'on voit ce monstre de cauchemars réveillé et instrumenté comme l'on sait, on se demande s'il n'y a pas eu un deal de conclu avec lui afin qu'il assure les "prestations" destinées à nourrir et intensifier les hostilités de la faction des généraux félons éjectés du DRS, contre le chef de l'Etat.

Une autre question doit être posée, celle de savoir si Ouyahia, le préféré des supplétifs de Toufik, a été plus loyal envers ce dernier ou envers le chef de l'Etat en invitant le chef des assassins de l'AIS à la dernière consultation sur la constitution.

Qu'a-t-il invoqué comme motifs pour se faire autoriser par le chef de l'Etat, si c'est le cas, l'inclusion du criminel dans la liste des participants à la consultation?

D'aucuns disent que Ouyahia excelle dans l'art de voler avec le voleur et de se lamenter avec celui qui se trouve volé et qu'il l'aurait fait, à toutes fins utiles, dans l'espoir de voir, le moment venu et par renvoi d'ascenseur, le chef terroriste reconnaissant donner une consigne de vote en sa faveur lorsqu'il se présentera à la prochaine élection présidentielle en tant que candidat adoubé par la faction scélérate des ex du DRS.

Le directeur de cabinet qui doit son poste actuel à Toufik, n'a décidément pas la tache facile, car il doit, à la fois, surtout servir les desseins de ce dernier et faire semblant par ailleurs d'être utile au chef de l'Etat.

S'il dure encore à son poste, après la mise à la retraite de Toufik, c'est qu'il le doit à sa dextérité de funambule, sinon parce que le President de la République n'a pas encore jugé le moment venu pour l'envoyer se faire voir ailleurs.